Les achats en ligne se sont proliférés avec l’apparition des réseaux sociaux. Comme toute chose, ces activités germent, se développent et soit atteignent une certaine stagnation ; soit elles meurent.
Aujourd’hui, à quoi doit-on s’attendre concernant les achats en ligne d’ici quelques années ? Nous en parlons.
Quelques chiffres sur l’e-commerce en 2021
L’e-commerce s’est toujours développé depuis ses débuts. En 2021, ces chiffres ont atteint 129,1 milliards d’euros en France. On perçoit alors une augmentation de 15% par rapport à 2020. Et dans toute l’Europe, toujours en 2021, les statistiques affichent 718 milliards d’euros.
Les achats se spécialisent surtout dans les ventes et rachats de produits de seconde main. Car oui, les actifs dans ce domaine accapareraient 80 % des e-acheteurs. Il est donc devenu tendance de vendre des produits que l’on n’utilise plus, ou des produits qui ne nous correspondent pas.
La digitalisation ici et maintenant
Ces dernières années, nombreuses sont les industries qui sont passées au numérique. Ils présentent aussi bien des produits que des services en ligne.
Un bon exemple est ici Imaging, où les fournisseurs permettent à leurs clients de profiter d’une expérience sans faille, et ce, depuis le confort de leur maison. Cela vaut tant pour la roulette que pour le blackjack live.
Pour quelles raisons, ce comportement s’est-il développé ?
Du côté des français, le comportement marchand n’est plus le même qu’auparavant. Cette tendance changeante de s’approprier des produits de seconde main tire source dans plusieurs raisons.
La première est la plus évidente, les produits de seconde main sont définitivement moins coûteux. Ensuite, même si ce sont des produits de seconde main, on peut faire en sorte d’y acquérir des produits de qualité et de bonne marque.
Quels sont les avantages ?
Les achats en ligne sont appréciés par leur aspect pratique et parce qu’ils permettent de faire des économies. En hausse depuis 2019, en lien avec un monde hyperconnecté, les acheteurs ont déjà pu expérimenter la facilité de commander et de se faire livrer à domicile.
Les appareils mobiles : smartphone, ordinateur portable, tablettes ont d’ailleurs favorisé cette manière d’acheter en ligne. Il suffit de chercher sur Internet sur les sites d’e-commerce, il n’y a plus lieu de se déplacer. Le gain de temps et de tracas attire les acheteurs.
D’ailleurs, les frais de livraison ne sont pas si coûteux par rapport au déplacement exigé. Et il est plus facile de dénicher avec précision un produit en s’assurant déjà en ligne de son existence dans les stocks d’un magasin.
Une autre alternative également appréciée : le système d’achat en ligne et de retrait en magasin. Cela évite les longues files d’attente en caisse ainsi que la fatigue engendrée par la recherche d’un produit. En cas d’insatisfaction, les acheteurs peuvent faire recours à la politique de retour en 30 jours.
Les potentielles innovations qui propulseront les achats en ligne
Chaque jour, selon les besoins des clients, les innovations se succèdent. Pour les achats en ligne, la diversification des systèmes de paiement verra de nouvelles pratiques via le paiement numérique.
On peut citer à cet effet les portefeuilles électroniques comme PayPal, Lydia, Klarna, Bancontact.
Ces modalités représentent la modernité par rapport aux virements bancaires qui prennent du temps. Le paiement est complètement dirigé, en quelques minutes, on peut obtenir une facture par e-mail.
Cette rapidité de réaction est rassurante. La sécurité des transactions est assurée par un système de code unique ou d’identification ID.
Mis à part cet accent sur le paiement, les futurs achats en ligne augmenteront encore en chiffres avec le temps. Les acheteurs insistent de plus en plus sur la recherche de produits de marque à raisonnable coût. Les enseignes de marque pourraient donc agir en ce sens pour promouvoir leurs produits.
Ces arguments soutiennent la stabilisation des achats en ligne mais n’empêchent pourtant pas les chiffres d’augmenter. La baisse est moins probable car l’e-commerce semble encore à son essor.