A la fin de leurs études, les étudiants s’attendent pour la plupart à un brillant avenir. D’autres préfèrent changer de territoire dans le but de retarder leur entrée sur le marché de l’emploi. En conséquence, le taux du chômage augmente constamment notamment auprès des jeunes. La tranche d’âge la plus évoquée est celle inférieure à 25 ans, soit, entre 15 à 25 ans.
Dans toute la France et ses DOM-TOM, ce taux s’élève à 10.9%. Elle a franchi la barre des 3 millions de chômeurs au sens du Bureau International du Travail ou BIT. Cette chiffe n’est pas pour autant si décevante que ça, car, le taux de chômage des jeunes actifs a reculé par rapport au second trimestre. Cependant, la crise aussi en est pour cause avec la suppression de divers emplois.
Le taux d’emploi des jaunes en légère hausse
Fin 2012, le taux d’emploi a frôlé un niveau bas historique, mais le gouvernement a su agir vite. Or, le lancement des emplois d’avenir à destination des jeunes sans qualification met de côté les diplômés ayant effectué des études supérieures.
Parmi les 100 000 emplois octroyés l’année dernière, la moitié reste à pourvoir.
En effet, beaucoup d’offres donnent la chance aux jeunes une première expérience professionnelle. D’ailleurs, vingt ans de cela, l’année 90 a été marquée par le temps des jeunes emplois ou le niveau était fortement élevé.
Les femmes, victimes du chômage
Il fut un temps où les femmes étaient les plus touchées par ce phénomène, mais cela a évolué depuis et la courbe se montre au même niveau depuis le début de l’année. « La convergence des courbes a commencé il y a dix ans et s’est accentué avec la dernière crise, qui a surtout touché l’industrie, la construction et l’intérim, des postes occupés par les hommes » explique l’Insee. Cela a pris fin et les Français assistent aujourd’hui à une nouvelle égalité des sexes dans le secteur du travail.