Une fois de plus, les problèmes d’actualités seront abordés durant le Forum économique de Saint-Pétersbourg. Cette année, les délégués se pencheront sur l’état de l’économie mondiale et sur les nouveaux défis qui attendent les différents États du monde.
Un État plus engagé dans l’économie
En Russie, c’est le manque d’engagement de l’Etat dans l’économie qui constitue un frein au développement. Pour changer la tendance, de nombreux experts ont avancé une réforme de la gestion publique. Selon le professeur de la chaire de régulation de l’économie, il est important de délimiter efficacement les fonctions de l’Etat et d’optimiser l’efficacité des organismes de gestion publique.
Dans le cadre du fédéralisme budgétaire, il est nécessaire de délimiter les fonctions du Centre fédéral et celles des entités appartenant à la Fédération. En effet, les entités de la Fédération sont impuissantes face aux diverses restrictions budgétaires.
Parallèlement à l’engagement de l’Etat dans l’économie, Valery Abramov estime qu’il est indispensable de mettre en place, une culture de bienveillance, de politesse et d’attention dans toutes les institutions étatiques.
Pendant le forum, la question de l’économie sera largement abordée, ainsi que les rapports entre les grandes puissances mondiales. Celles-ci ne sont pas encore assez proches pour qu’elles puissent coordonner efficacement leur politique monétaire et il est devenu nécessaire d’évaluer les risques que ces tendances peuvent engendrer sur le climat d’investissement et la stabilité de l’économie mondiale.
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En France, l’État est très impliqué dans l’économie, et dans tout de manière générale, et parfois un peu trop. Cela coûte très cher aux contribuables et les décisions manquent parfois de sens et de professionnalisme.
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Les répercussions des opérations politiques
Pour une croissance économique soutenue et pérenne, de nombreux experts pensent que la cuisine politique ne devrait en aucun cas, avoir des répercussions dans le développement.
Au niveau du commerce mondial, la croissance est au rendez-vous, mais elle est trop faible pour booster efficacement l’économie mondiale. En effet, l’accroissement du chiffre d’affaire généré par ce type de commerce peine à dépasser les 4%, chaque année.
D’après des experts, le ralentissement de la croissance sera une tendance à laquelle il faudra faire face, dans un avenir proche. De leur côté, certains experts estime que le commerce global ouvrira la porte aux échanges régionaux et que les liens entre les États et des associations interétatiques se raffermiront.
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