Le e-commerce en 2012

Au début des années 2000 le monde de l’internet a connu une phase euphorique. On entendait alors parler de bulle internet.

Si aujourd’hui le chiffre d’affaire généré par la vente en ligne atteint les 16000 millions d’euros en France (2007) cela ne représente toujours que 4% seulement du chiffre d’affaire de la distribution sur les canaux classiques.

Il y a bien évidemment toujours des marchés à pénétrer en ligne mais il ne faut pas perdre de vue que le monde du web reste un secteur très concurrentiel avec 17 000 e-commerçants en France (2007). Quand on y pense on peut facilement assimiler le moteur de recherche google dans sa grande suprématie de porteur d’affaire a l’équivalent sur les canaux classiques de la grande distribution.

Et si il n’y a qu’une porte pour atteindre les clients, pas forcément facile de bien s’y placer. Les agences de référencement y consacrent d’ailleurs toute leur énergie et ce travail est loin d’être facile qu’en bien même des requins du webmarketing essayez d’appâter le chaland avec des formules miracle du genre « 1er sur google en 10 en 1h et gratuitement ». Mon conseil les communiqués de presse bien placés.

Avant de lancer une affaire de e-commerce il convient de bien analyser son marché et bien positionner son produit. A ce titre les spécialistes du e-commerce adoptent deux types de différenciation. La première sur les acteurs la seconde sur le produit. Les acteurs du e-commerce sont les même que ceux du commerce traditionnel : L’État (G), le particulier (C) et l’entreprise. Dès lors un site web et un produit peut être catégorisé dans une case du tableau à double entrée : [G C B] [G C B].

Un exemple de service C2C, comprenez Consumer to Consumer est le site de petite annonces Leboncoin.fr. Un site B2C est par exemple Amazon.com. Un exemple de site B to B serait le site Alibaba.com qui propose aux professionnels d’acheter auprès de grossistes. Rendez vous sur ninja-presse.fr pour devenir ninja du e-commerce.

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