Les nouvelles technologies, la dématérialisation des procédures et la digitalisation de la société ont profondément transformé les mœurs. Ainsi, communication, marketing et publicité se jouent de plus en plus sur Internet, s’adaptant aux ordinateurs, tablettes et smartphones. Même la culture et la littérature classique – entre autres – s’invitent sur ces supports de dernière génération.
La publicité numérique est généralement réputée moins chère que les bons vieux catalogues de vente par correspondance. Cela permet à de petits acteurs économiques d’exister et de s’en sortir. Pourtant, si elle est bien incontournable de nos jours, les grands savent bien qu’elle ne suffit pas pour toucher le public le plus large possible. En effet, il faut encore conserver des modes de communication physiques, comme l’impression d’affiches, de flyers, de brochures, de kakemonos, etc. Ce sont autant de spécialités maîtrisées par des imprimeries en ligne du type www.helloprint.fr.
Impression en interne ou déléguée ?
La réponse à cette question essentielle dépendra de deux éléments : 1° la physionomie de l’entreprise qu’elle concerne ; 2° le type d’imprimé à produire. L’important est de réfléchir avant d’agir, et donc de ne pas se lancer dans une direction inadaptée. Sinon, le résultat ne sera jamais à la hauteur des attentes…
Les principales solutions proposées par l’impression professionnelle sont respectivement l’acquisition d’une machine, sa location avec contrat de maintenance auprès d’une société spécialisée ou la délégation pure et simple via un prestataire externe. Dans le premier cas, l’investissement peut être colossal si l’on a besoin d’un équipement vraiment polyvalent et capable de produire des éléments aussi différents qu’un flyer A4 plié en trois ou un épais catalogue. Ce sont généralement plusieurs machines qu’il faudra acquérir. Autant dire que cela ne concernera que de grandes entreprises ou des boîtes ayant des besoins abondants et réguliers en la matière. Tout le monde ne peut pas se prendre pour l’Imprimerie nationale…
Le recours à la location via Xerox, Rico ou autre est très répandu. Il a l’avantage d’avoir un impact moins violent sur la trésorerie : pas de gros investissement de départ, mais des coûts mensualisés et donc répartis. Les tarifs s’entendent souvent à la copie et varient en fonction du matériel loué. En outre, les réparations sont généralement comprises dans le prix, ce qui est tout de même confortable. En revanche, il faut savoir utiliser l’appareil en interne et payer les consommables, de sorte que ce n’est pas souvent la meilleure solution pour imprimer des articles qui sortent de l’ordinaire.
Dans ce cadre, un imprimeur en ligne peut s’avérer très utile. En quelques clics, tout en profitant des outils intégrés de détection des anomalies et de divers conseils automatisés (voire d’un logiciel de desing gratuit), il sera possible de commander ce dont on a besoin, frais de port inclus. C’est parfait pour disposer ponctuellement de brochures, de tracts, d’affichettes, de cartes de visite, de dépliants, de banderoles, etc. Grâce à l’ultra-spécialisation de l’intermédiaire, les coûts sont aplanis, surtout qu’une main-d’œuvre qualifiée limite d’autant les ratés. En interne, vous n’aurez jamais vos papiers couchés ou vos encres de couleur au même prix…
Quels imprimés privilégier ?
Là encore, dans le cas d’une impression en interne, l’entreprise sera limitée dans ses choix. La plupart du temps, un photocopieur-imprimante comme nous en croisons beaucoup n’imprime que jusqu’au format A3, avec une précision plus ou moins chancelante. Il faudra généralement se débrouiller avec les moyens du bord pour découper des cartes de visite ou plier des flyers. Côté communication, la direction aura donc tendance à se contenter de ce qui peut se faire en interne, sans recourir à autre chose. Pourtant, on gagne toujours – en marketing – à se renouveler et à se diversifier…
Il est donc d’autant plus intéressant de s’adresser à un professionnel qui saura proposer des produits imprimés d’une très grande variété. Étant équipé pour, il se montrera hautement compétitif, ce qui permettra à n’importe quelle société de s’offrir des supports promotionnels attractifs qu’elle aurait été matériellement incapable de produire par elle-même sans cette aide extérieure.
L’essentiel reste ensuite de choisir le bon type d’imprimé en fonction de sa destination. En règle générale, il faut toujours avoir un petit fonds de roulement : cartes de visite, livrets agrafés de présentation de la boîte… Il faudra cependant élargir ses horizons pour des besoins particuliers : affiches et flyers annonçant un événement, kakemono pour un salon, banderole pour certains lieux, tracts faisant état d’une promotion exceptionnelle, etc. Cela vaut d’ailleurs aussi pour les enseignes les plus dématérialisées qui soient, les e-boutiques, dont la visibilité peut être améliorée au moyen de salons spécialisés par exemple.
Un dernier point est également trop souvent négligée. C’est la communication de prestige. Face à la généralisation du digital, le papier apparaît de plus en plus comme un support premium. À condition cependant d’être soigné et bien travaillé pour ne pas faire « vieillot ». Du coup, dans bien des domaines d’activité, se doter de temps en temps de belles brochures avec des pages joliment glacées peut servir à fidéliser une clientèle que l’on souhaite garder. Mais ce n’est qu’un exemple parmi d’autres !