Le transport alimentaire pour les entreprises et le maintien au froid des aliments

La demande internationale pour manger des aliments produits au bout du monde s’intensifie, que ce soit par goût de l’exotisme ou pour assurer des économies d’échelle et ainsi baisser le prix de revient d’une mangue ou même d’une tomate. Le transport alimentaire répond à des règles spécifiques dans la mesure où la chaîne du froid ne doit à aucun moment être brisée. Aussi il faut s’intéresser à… CONTINUER

L’utilisation du moyen de transport adéquat

Lorsqu’une entreprise commande à une autre divers produits, cette dernière va tenir compte de la géolocalisation de son client pour choisir le moyen de transport qui est le plus adapté. Généralement la procédure est la suivante :

Livraison sur le même continent

Lorsqu’il s’agit de transporter des aliments d’une ville à une autre ou d’un pays à l’autre, sans que la mer ou l’océan soit un obstacle pour aller du point A au point B, c’est le camion qui est le moyen de transport privilégié. Si l’itinéraire le permet, le transport ferroviaire peut également convenir.

Livraison d’un continent à un autre

Si auparavant c’était un obstacle de taille, la technologie actuelle permet de transporter des aliments par bateau ou par avion. C’est en fonction du coût global et de la rapidité souhaitée que le transporteur sera choisi. En effet certains aliments, même parqués dans des containers frigorifiés, ont une durée de vie très limitée. Il faudra alors s’orienter vers le transport aérien qui est généralement plus cher que le transport maritime.

La prise en compte de la quantité de CO2 émise

Un terme bien spécifique et propre au transport des produits alimentaires à destination des entreprises est employé : le « kilomètre alimentaire ». Pour connaître la quantité de CO2 émise pour faire parvenir les aliments d’un point A à un point B, on se base sur la tonne pour le poids et le km pour la distance. Ainsi on sait par ordre d’importance de pollution :

  • L’avion est très polluant et émet en moyenne entre 700 et 1500 grammes de CO2 par tonne.
  • Ensuite c’est le camion
  • Puis le train
  • Enfin le palmarès de la pollution la moins importante revient au bateau (paquebot) qui émet en moyenne 20 à 30 grammes de CO2 par tonne au kilomètre parcouru.

Jusque là n’est évoqué que la partie du transport alimentaire, mais la production de ces produits réclame elle aussi de la dépense énergétique. Et contrairement aux pensées communes, il arrive fréquemment que faire venir des kiwis de Chine nécessite moins d’énergie que de les produire en Espagne par exemple. Si l’on additionne la production avec le transport on arrive régulièrement à une facture globale plus intéresse pour l’environnement en important d’un autre continent. Mais ce n’est pas toujours le cas et il faut en convenir rien ne sera plus écologique que la consommation locale. Les entreprises ont donc une responsabilité de mesurer cette dépense énergétique, en tenant compte bien sûr de la différence de facturation qui s’applique selon le moyen de transport de marchandises choisi.

La réfrigération des aliments

Les groupes concernées par le transport réfrigéré des marchandises

Comme déjà évoqué, les aliments ne peuvent être transportés sans être entreposés dans un conteneur réfrigéré qui les empêche de moisir. Deux catégories d’aliments sont concernées :

  • Les aliments industriels de boulangerie, pâtisserie, etc…
  • Les produits frais tels que les légumes, surgelés ou non, ainsi que les produits de la mer.
  • Il existe une 3ème catégorie qui concerne les produits pharmaceutiques, cosmétiques et les plantes

Pour ces 3 groupes, la chaîne du froid doit impérativement être conservée intacte avec une tolérance d’écart de température très faible, sous peine d’être directement jetés aux ordures pour motif « impropre à la consommation ».

Quel matériel utiliser pour assurer le transport réfrigéré des aliments ?

Pour livrer à l’entreprise (boucherie, grande surface, épicerie, collectivité, restaurant, etc…) les aliments dans le respect des normes d’hygiène imposées par la loi, la société de transport doit être équipée de conteneurs isothermes certifiés (ATP, Food Contact, HACCP). Il existe différents conteneurs en fonction de la taille et de la gamme de température souhaitées…

Les conteneurs isothermes OLIVO (Cold Logistics)

La société OLIVO (https://www.olivo-logistics.com/) n’a pas pour ambition le transport des aliments, mais plutôt de fournir aux entreprises de transport qui ont des besoins du matériel de stockage réfrigéré. Sur le site commercial on peut en un instant trouver le conteneur idéal : l’ambiant, le frais et le surgelé.

Le BOX isotherme

La gamme BOX d’OLIVO se compose de boîtes isothermes pour le transport de petit volume pouvant être qualifiées d’emballages isothermes ou caisses réfrigérées. Ces conteneurs sont appréciés pour la logistique du dernier kilomètre.

Le BAC isotherme

Les caissons de la gamme BAC ont la particularité de s’ouvrir sur le dessus grâce à un couvercle articulé. Ces conteneurs sont utilisés pour le transport des produits en vrac ou conditionnés issus de l’agro-alimentaire, de la chimie ou de la santé.

Le ROLL isotherme

Nommés également armoires frigorifiques, ces conteneurs verticaux sont dotés d’une porte isolante sont précieux pour le transport des produits alimentaires thermosensibles. Elles permettent également la livraison de plusieurs entreprises clientes sous forme de tournée.

Les caractéristiques des conteneurs isothermes OLIVO

Chaque gamme est dotée de spécificités dont voici l’essentiel :

Le BOX isotherme

  • Caisse et couvercle en PPE, polypropylène expansé
  • Boîtes gerbables
  • 2 prises de main latérales
  • Filet pour plaques eutectiques ou glace carbonique

Le BAC isotherme

  • Caisse et couvercle en polyéthylène rotomoulé monobloc. Isothermie par mousse de polyuréthane expansée
  • Rainurages intérieurs de convection
  • Support plaque eutectique venant du moulage
  • Articulation caisse/couvercle venant du moulage, ouverture à 115°
  • Joint cadre monobloc silicone
  • Grenouillère de fermeture encastrée (emplacement pour scellé)
  • 2 poignées de manutention venant du moulage
  • Porte étiquette encastré

Le ROLL isotherme

  • Rotomoulage monobloc. Parois intérieures rainurées favorisant la convection
  • Articulation caisse/porte à double axe. Porte à ouverture 270°
  • Fermeture rapide 1 point type « pélican » en acier zingué bichromaté
  • Châssis encastré, en acier traité anticorrosion, équipé de 2 roues fixes et 2 roues pivotantes ø 100 mm
  • Joint d’étanchéité EPDM en cadre monobloc. Système d’arrêt de porte ouverte
  • Porte étiquette encastré
  • 2 poignées de manutention venant de moulage et encastrées
  • Support plaque eutectique venant de moulage
  • Rack Inox 9 niveaux pour plateaux Euronorme ou Gastronorme

La gamme des conteneurs isothermes OLIVO est suffisamment importante pour couvrir tous les besoins en matière de transport réfrigéré des aliments et plus encore, dans différentes tailles.

Le transport des produits alimentaires est un métier qui réclame un savoir faire au niveau de sa logistique. Il existe des normes spécifiques et tout manquement à l’une d’entre elles peut s’avérer être un désastre pour la marchandise et par conséquent pour l’entreprise. C’est pourquoi la réfrigération ne doit pas être laissée au hasard. L’entreprise OLIVO accompagne ses entreprises clientes pour leur fournir le matériel dont ils ont besoin pour accomplir leur travail de transport dans les meilleures conditions.

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