Alors que l’argument clé d’un grand nombre de banques était celui des frais minimum, un nouveau vent semble souffler. Il est possible de noter que des bonds conséquents ont été effectués et qu’il se pourrait bien que la facture 2016 soit nettement plus importante que les autres années. L’accès internet devient beaucoup moins cher mais d’autres ont grimpé en flèche.
L’arrivée des frais de tenue de compte
Cette nouveauté instaurée par les banques donne droit aux clients à une carte bancaire avec un plafond hebdomadaire, le traitement de leurs opérations sur leurs comptes, aussi bien les entrées d’argent que les paiements. Les clients peuvent s’étonner de cette nouvelle mesure puisque jusqu’à présent elles étaient faites gratuitement par leurs banques. Désormais, posséder un simple compte bancaire demande certains frais.
En comptant en moyenne trente euros par mois, les frais bancaires retrouvent un niveau beaucoup plus important. Ces frais sont par contre complètement transparents puisqu’un courrier est envoyé aux clients afin de leur présenter les avantages d’une formule de compte. Ces propositions semblent cependant être illusoires puisque chaque personne est désormais amenée à souscrire à ce type de service pour pouvoir continuer à profiter des services classiques de leur banque.
Les commissions d’intervention plus fréquentes
Alors qu’auparavant lorsqu’un client n’avait pas la somme suffisante sur son compte, le paiement ou le chèque était tout simplement rejeté, désormais des frais supplémentaires peuvent être ajoutés. Chaque banque dispose d’une commission d’intervention chargée de décider si les paiements peuvent être accordés ou pas.
Cette décision se fait au travers de l’étude du compte et des habitudes du client. Vois un chèque accepté malgré l’insuffisance de provision rend un sacré service puisque cela va éviter de devoir régulariser par la suite.
Chaque commission demande des frais qui parfois peuvent dépasser le montant des frais de rejets habituels. Les banques argumentent cependant que ceci est fait dans l’intention du client. Entre réalité et prix variables à payer, il est souvent difficile de s’y retrouver. Le tarif semble varier entre un prélèvement et un chèque mais le détail n’est pas précisé à moins d’en faire une demande expresse.
La lettre d’information pour une insuffisance de provision est également devenue payante. Les tarifs de sa banque sont à vérifier afin d’éviter les mauvaises surprises. Les banques semblent en effet chercher à monétiser un grand nombre de services à la clientèle.